Résultats des apéros débats autour de l'oeuvre « Les femmes broyées » qui ont eu lieu pendant les expos et partout dans le monde.
Résultats des apéros débats autour de l'oeuvre « Les femmes broyées » qui ont eu lieu pendant les expos et partout dans le monde.
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Le slogan féministe « Moi, je te crois » suppose une présomption de culpabilité des hommes. Faut-il croire d’office les femmes qui portent plainte pour viol ?
Le hashtag « #MeToo » dénonce des agressions sexuelles sur les réseaux sociaux. Faut-il dénoncer les auteurs d’agressions sexuelles sur les réseaux sociaux ?
Les femmes se plaignent de subir un véritable interrogatoire de police qui les culpabilise lorsqu’elles portent plainte pour viol. Les policiers doivent-ils faire subir un interrogatoire aux plaignantes ?
Avec des délais de prescription qui s’allongent, les plaintes sont déposées de plus en plus tard, ce qui rend quasiment impossible la collecte de preuves ou de témoignages. Faut-il inciter les femmes à porter plainte plus tôt, en réduisant le délai de prescription ?
Souvent, les féministes font le lien entre l’éducation des garçons et les agressions sexistes et sexuelles. Est-ce que les parents sont responsables des agressions sexistes et sexuels de leurs enfants ?
Quand l’agression se déroule dans le cadre familial, les femmes se taisent pour éviter de priver leurs enfants d’un père, ou de priver leur mère d’un mari. Faut-il des sanctions moins élevées pour les agressions dans le cadre familial ?
Par pudeur, honte, ou par soucis de discrétion, les femmes mentent à leur entourage sur les circonstances de leurs agressions. Ces mensonges finissent par se retourner contre elles, lors de l’enquête de police, car ils apportent à leur agresseur la preuve qu’elles sont des menteuses. Faut-il croire les femmes qui ont menti à leurs proches, sur les circonstances de leur agression ?
Fautes de preuves suffisantes, beaucoup de viols sont requalifiés en agressions sexuelles. Les sanctions étants beaucoup moins élevées, les victimes souffrent d’un sentiment d’injustice voire d’impunité. Faut-il augmenter les sanctions des agressions sexuelles ?
Quand la justice leur tourne le dos, les victimes subissent une 2éme violence, celle du déni. Souvent, les plaignantes sombrent, s’autodétruisent et renoncent à se battre. Faut-il créer un accompagnement psychologique et social des plaignantes ?
Masculinité toxique, culture du viol, féminicides, violences faites aux femmes, les hommes violent, tuent et agressent les femmes. Y a-t-il un problème avec les hommes ?